Michel
Garroté -- Sarkozy a installé le « chaos islamique »
en Libye ; et, de ce fait, bien au-delà de la Libye. Sarkozy a soutenu
l’entrée d’un Etat « palestinien » à l’UNESCO et Sarkozy veut un Etat
« palestinien », quoiqu’il puisse radoter par ailleurs, quand il prétend courtiser l’électorat
juif qui du reste n’est pas dupe. Sarkozy a tenu des propos insultants à
l’égard du Premier ministre israélien Binyamin
Netanyahou.
Sarkozy
a mené une politique de « flambeur » en matière économique. L’appareil
de l’Etat français est une sorte de monarchie républicaine dont les
fonctionnaires sont les seigneurs. Sarkozy avait annoncé la République
irréprochable. C’était vraiment prendre les Françaises et les Français pour des
demeurés. Du reste, sur ce point, rien n’a
changé : la France est étatiste et cela tue son économie. Avec ou sans Sarkozy.
Ceux
qui soutiennent Sarkozy feignent d’avoir l’illusion qu’il pourrait changer
quelque chose. Mais ils savent pertinemment que Sarkozy lui-même n’a
pas changé. Et que par conséquent, il ne changera rien non plus
en matière
politique. Sur les grands thèmes, Sarkozy a dit - et
dit encore - tout et son contraire.
Sarkozy est un imposteur et
un menteur. Sarkozy est à la fois complexé et narcissique, bref, bipolaire,
comme on dit aujourd’hui. Il n’a aucune culture politique et historique. Il a
épousé une femme millionnaire et mono-neurone dont il nous dit, sans rire, qu’elle
serait « intelligente ».
Je pense que la France devra toucher le fond avant de pouvoir se redresser. Et
le fond, elle le touchera un peu moins vite si Sarkozy est élu en 2017, mais
elle le touchera quand même. La question n’est donc plus de savoir si la France
va toucher le fond. La question est quand. Et le plus vite sera le mieux.
Car
plus vite elle touchera le fond, plus vite elle se redressera. La gauche, c’est
le suicide à court terme. Sarkozy, c’est le suicide à moyen terme. Sarkozy est,
de fait, un homme de centre-droit qui, quand ça l’arrange, se fait passer pour
un homme « de droite ». Je reproduis ci-dessous
trois analyses politiquement incorrectes sur la soi-disant « droite »
et sur Sarkozy.
Sur
Riposte laïque, Jacques Guillemain écrit (extraits adaptés ; voir lien
vers source en bas de page) : Les promesses de la droite ne sont que
salades de bonimenteurs, comme l’a encore prouvé Nicolas Sarkozy avec son
programme de 2007 qu’il n’a jamais eu le courage d’appliquer. De 2002 à 2012,
la droite a détruit un million d’emplois industriels, sabordé notre
balance commerciale, positive en 2002 et déficitaire de 70 milliards en
2012. Elle a également plus que doublé la dette publique, la portant de
850 milliards à 1800 milliards en dix ans de gestion calamiteuse. Beau bilan
pour un parti qui prétend donner des leçons d’économie.
Quant à
Nicolas Sarkozy, qui se targuait d’avoir éliminé le FN en 2007, il a aussitôt
tourné le dos à ses promesses de campagne, ouvrant les frontières comme jamais,
régularisant et naturalisant davantage que Jospin. Il a supprimé la double
peine et sacrifié 10000 postes de policiers, il a sabordé notre armée
en rayant 53000 postes dans la Défense, il a fermé les yeux sur la polygamie,
les prières dans la rue, les mariages arrangés, les répudiations. Il a
abandonné des pans entiers de la république aux mains des caïds ou des barbus.
Le résultat de ce laxisme coupable est éloquent. Aujourd’hui, 70%
des Français estiment qu’il y a trop d’immigrés dans notre pays et les
deux tiers d’entre eux ne se sentent en sécurité nulle part.
Sur
Boulevard Voltaire, Renaud Camus écrit (extraits adaptés ; voir lien vers
source en bas de page) : Voilà que deux cauchemars qu’on croyait dissipés
par le réveil reviennent en même temps : Nicolas Sarkozy et la Turquie. Ce
sont pourtant deux cauchemars contradictoires, car Nicolas Sarkozy était contre
la Turquie, si je me souviens bien, du temps qu’il était au pouvoir – contre
l’admission de la Turquie dans l’Union européenne, je veux dire. Il l’est
peut-être encore, qui pourrait le savoir ? Pas lui, probablement. Il lui
faudrait sans doute un sondage pour le dire. Comme il n’a pas la moindre
conviction personnelle, il lui faut des sondages pour décider de toutes ses
opinions – d’où l’usage pléthorique qu’il en fait : il pense ce qu’il
pense être le mieux pour sa carrière, pour ses intérêts, pour les intérêts dont il est le représentant.
Je
vois, ne serait-ce qu’ici même, chez ma voisine Mme Artus, qu’il attaque Marine
Le Pen sur son physique. « C’est physique », dit-il. Ah, parfait, on
a le droit de dire cela ? Quelle libération ! Parce que moi, depuis
toujours, quand je pense « c’est physique », je vois Nicolas Sarkozy.
Les
gens se moquent de ce pauvre Hollande, de ces pantalons qui tire-bouchonnent et
de sa main tendue que personne ne prend. Néanmoins il ne viendrait à l’idée de
personne de trouver François Hollande vulgaire ; distingué non plus, bien
entendu, et même encore moins. Mais tout de même il faut des moyens, pour être
vulgaire. Rien n’est vulgaire pour ce qui n’y est
pas.
Il faut
des montres chères, des réajustements perpétuels de veste et de menton, des
dîners au Fouquet’s les soirs d’élection présidentielle (quand on est élu), des
vestes qu’on remet en sortant de voiture devant les caméras, des vacances sur
des yachts de milliardaire ; ah, et vouloir booster l’Académie
française : « Qu’est-ce qu’on pourrait faire pour booster l’Académie
française ? » demandait le mari de Carla (« avec Carla, c’est du
sérieux… ») à Hélène Carrère d’Encausse, qui s’en souvient – moi aussi.
Si je
trouve Nicolas Sarkozy plus dangereux encore que François Hollande, et le parti
remplaciste de droite, sous sa houlette, plus redoutable même que le parti remplaciste
de gauche, c’est que lui peut abuser des patriotes. Personnellement, bien sûr,
cette capacité me semble tout à fait
invraisemblable.
Je
n’arrive pas à comprendre une seule seconde comment qui que ce soit qui aurait
chevillé au corps l’amour de la France, de ses paysages, de ses visages, de ses
ciels, de ses princesses de Clèves et de ses neveux de Rameau, peut compter
pour sauver la patrie, et pour lui conserver son peuple, sur ce marchand de
cravates dans un parapluie, très protégé par la direction des grands magasins,
et qui a vendu cent fois les pires ficelles (à ses électeurs pour se pendre).
Mais
peu importe ce que je comprends ou pas. Nicolas Sarkozy a fait perdre cinq
précieuses années à la lutte contre le Grand Remplacement, contre la substitution
ethnique et culturelle, contre la colonisation du pays. Or, il vient de
montrer, à ma grande horreur, que ses vieux tours marchaient encore. Deux ou
trois mots d’on ne sait quelle agence-conseil en faveur du repas unique dans
les cantines scolaires, et pof, voilà, ça recommence, les antiremplacistes qui
votent remplaciste sont de nouveau émerveillés, séduits, frémissants d’amour, de confiance et d’espoir.
Il leur
en faut peu. Mais si ce peu leur tient jusqu’à la prochaine élection
présidentielle, nous sommes perdus. Je ne dis pas que Nicolas Sarkozy serait
pire qu’Alain Juppé, ou que François Hollande, ou que la ravie du
métropolitain ; je dis que s’il revient à l’Élysée, nous aurons la double
douleur de voir la nation disparaître avec l’aide de ses nationaux, même.
Au
fond, mes deux cauchemars ne sont pas si incompatibles que cela. Retour de
Nicolas Sarkozy, retour de la question turque, il y a des portes ouvertes entre
ces deux mauvais rêves, des frontières-passoires. Quelle importance que
l’Empire ottoman soit à Bruxelles, à Vienne, à Berlin, si le royaume arabe est
à Poitiers, à Paris, à Londres, à Oslo ? Ils pourront peut-être s’offrir
une bonne petite guerre civile, eux, quand ils seront tout à fait les maîtres.
Ou bien ce sera un joli conflit mondial entre chiites et sunnites, comme c’est
la mode, pour un regard de travers à Barbès, pour une voilée dévoilée dans un
arrière-canton d’Ostrogothie méridionale, pour un archi-iman assassiné à
Sarajevo ou Bourgoin-Jallieu.
Mais
tout de même, pour en revenir à cette semaine, après ces projections à cinq ou
dix années d’ici : ce qui rendait le cauchemar turc encore plus affreux
que le cauchemar Sarkozy, c’est qu’il avait pour Monsieur Loyal Barack Obama en
personne, fouet en main. Le président des États-Unis insiste fermement, cette
fois-ci, pour que l’Union européenne accueille la Turquie en son sein. Non mais
je rêve, là ! (me suis-je écrié dans mon rêve, indigné). Et aussi : la
humillación ! Et encore : ah, si seulement les lecteurs de Boulevard
Voltaire ne m’avait pas refusé comme un seul homme l’armée européenne que je
leur réclamais il y a trois semaines !
Sur
24heures actu, Justin Peflou écrit (extraits adaptés ; voir lien vers
source en bas de page) : Sarkozy peut toujours pleurnicher : « Chaque
fois que la gauche est au pouvoir, le FN monte ». C’est effectivement une
évidence. Chaque fois que la gauche est au pouvoir, il n’y a plus personne à
droite pour s’opposer à elle. Sinon le FN… Voilà trois ans que Sarkozy fait le
mort. Il ne revient que pour voler la vedette à Valls dans le combat qui oppose
UMPS et FN. Concours de crétinerie en perspective !
En
premier lieu, à chaque fois que le PS est au pouvoir, ce sont les électeurs de
gauche qui sont déçus. Sur le plan économique, le PS mène une politique libérale
de centre droit. Sur le plan social, les chômeurs et les mal-logés sont
négligés. Afin de combattre les inégalités, ne sachant plus quoi inventer pour
justifier son mandat, c’est invariablement sur les femmes ou sur les immigrés,
et maintenant sur les homosexuels, que le gouvernement socialiste canalise
l’attention, promouvant un progressisme sans retenue.
La
droite libérale encourage systématiquement ce délire sociétal, sinon le centre
bascule à gauche. Pour arriver au pouvoir la gauche doit d’ailleurs phagocyter
le centre mais une fois qu’elle y est, elle explose et finit par lui rendre ses
voix. La gauche reprend alors un discours de gauche et repart à la pêche. La
droite s’aligne donc sur une politique centriste pour diriger et assume
pleinement la position libérale. Cependant elle adopte les revendications
socialistes, considérant comme acquis le « progrès » social réalisé.
Si elle cède au conservatisme, elle perd son tour. Le centre arbitre, c’est lui
qui dirige sans jamais se mettre en danger. Gauche et droite se débattent ainsi
avec leur bilan mais les deux sont corrompus par un libéralisme qui n’est pas
leur vocation.
La
discorde entre libéraux de gauche et libéraux de droite n’est qu’une mise en
scène, elle donne aux électeurs l’illusion d’un débat démocratique et permet
aux députés de ratifier les décisions européennes sans avoir à les justifier.
La gauche se rassemble sur le PS tandis que le FDG fait la passerelle avec les
communistes et les verts. La droite joue la coalition, l’UDI mène la danse et l’UMP
se charge de faire du pied aux électeurs du FN. En somme, Sarkozy est à la
droite ce que Mélenchon est à la gauche, un rabatteur. La droite est derrière
Juppé.
Hollande
ou Juppé, quoiqu’il arrive et quel que soit le pantin qu’on mettra en avant, une
grande gueule comme Valls ou Sarkozy, c’est la même politique qui sera
appliquée. Le consensus autour du libéralisme économique et du progressisme
social est artificiel, entretenu par des politiciens professionnels et
carriéristes.
Les
partis et les carrières politiques s’inscrivent aujourd’hui dans un système
hiérarchique international. Au-delà des instances européennes, il y a l’ONU, la
Banque Mondiale, le FMI, etc. L’Europe elle-même, bien souvent, ne fait que
ratifier. Par exemple la politique démographique de la France et plus
généralement celle de l’Europe, qu’il s’agisse des flux migratoires ou de la
politique familiale, est dirigée de main de maître par la gouvernance mondiale.
Idem l’ouverture des marchés et la libéralisation de l’économie. Il faut
reléguer au passé toute forme de solidarité familiale ou nationale.
Cependant,
le peuple de France exprime chaque jour un peu plus son virage à droite, non
pas un virage libéral mais un virage conservateur. Sarkozy, si il écoutait ses
électeurs, suivrait la tendance et ferait alliance avec le FN. La droite
conservatrice n’est peut-être pas assez forte pour gagner sans le centre mais
aujourd’hui, elle est en passe de le devenir avec le FN. Il ne lui manque qu’un
petit coup de pouce. Sarkozy refuse de le lui donner. En considérant comme
illégitime les revendications du FN, Sarkozy condamne tous ses électeurs à
suivre une politique libérale, hors beaucoup sont conservateurs. Il a trahit la
droite dure et méprise ses valeurs. C’est par sa faute et uniquement par sa
faute que le FN prend tant d’importance.
Le
monde entier n’est-il pas déjà régulé par les marchés financiers ? Et les
gouvernements ? Les structures étatiques sont toutes en faillite, incapables de
rembourser leurs dettes, il ne reste plus qu’aux gouvernements la possibilité
de vendre le patrimoine et d’amuser les foules. Une politique libérale, c’est
une politique dans laquelle l’Etat n’intervient pas. Tout au plus permet-on aux
fonctionnaires de redistribuer, le plus souvent dans leurs poches, les quelques
deniers qu’on voudra bien leur laisser et s’assurer des réticences. Quand on
dit de la politique libérale qu’elle devient ultralibérale, c’est que la Nation
résiste encore, après bien des attaques, à abandonner sa souveraineté.
Les
Français veulent un gouvernement fort qui ne soit pas un gouvernement fantoche.
Défendre les valeurs de la Nation et trouver un équilibre sur la scène
internationale. Imposer à l’économie des monnaies échangeables, des frontières,
des limites éthiques et des règles de concurrence. Préserver l’entreprise et la
propriété, privées ou publiques, des systèmes mafieux et bancaires. C’est cela
la vraie justice. Sarkozy aura beau se faire passer pour l’homme fort qui
redonne espérance au pays, il ne réussira pas plus que Valls. Il n’a pas
l’intention de redonner sa souveraineté à la France. Il veut juste donner à un
pouvoir vacant l’illusion du pouvoir. La France est occupée, le pouvoir est à
Bruxelles. Le FN n’a pas fini de grimper, personne n’en doute !
Sarkozy,
c’est le président grâce à qui le référendum européen a été ignoré. Sarkozy,
c’est le président grâce à qui la Libye est devenue un état terroriste pour la
seule gloire de Dassault. Sarkozy, c’est le président grâce à qui la gauche est
passée, parce qu’il refusait de faire alliance avec le FN. Mais plutôt que de
reconnaître son erreur et de les corriger, Sarkozy s’enracine dans le camp des
traîtres. Et quand l’UMP était au pouvoir, le FN, il faisait quoi ? Il ne
grimpait pas, peut-être ? C’est la crétinerie qui fait monter le FN !
Reproduction
autorisée avec mention :
Michel
Garroté
Sources :
Et Le Pen ?
RépondreSupprimerPlus bref, mais...
Il y a dans l’idéologie du FN un antisémitisme, affiché par son fondateur, et actuellement plutôt camouflé, mais néanmoins certain.
Ce qui explique le trouble provoqué par la publication par Aymeric Chauprade sur son blog (http://blog.realpolitik.tv) en août 2014 d’un texte titré « La France face à la question islamique : les choix crédibles pour un avenir français ».
Alors qu’une partie influente de l’appareil du FN croit à la possibilité d’attirer le vote musulman et tient le sionisme pour la source de tous les maux, « camouflant (mal) derrière ce vocable au sens mystérieux un antisémitisme en effet « obsessionnel » ».
Obligeant Marine Le Pen à choisir entre « adopter ou rejeter ce Manifeste pour une nouvelle politique internationale de la France, et donc définir qui est l’ennemi prioritaire, le « fondamentalisme islamique sunnite », ou le « mondialisme », qui n’est bien souvent que l’autre nom que les antisémites donnent au « sionisme » ».
Je tire ces copiés-collés plus ou moins mis en forme de l’hebdomadaire Minute du 20 août 2014.
On connaît aujourd’hui la suite, Chauprade a publié en janvier sa fameuse vidéo, « La France est en guerre », il a été démis de sa fonction de chef de la délégation du FN au Parlement européen et n’est plus conseiller de Marine Le Pen aux affaires internationales.
Détails là-dessus et sur le rôle de Wallerand de Saint-Just dans Minute du 28 janvier.
Conclusion, l’ennemi prioritaire, pour le FN, ne semble pas être le fondamentalisme islamique sunnite… mais plutôt le sionisme, voire le judaïsme.
Cher Mr Garroté en vous lisant je comprends que vous ayez quitté Dreuz .
RépondreSupprimerVous êtes audible jusqu'au moment où votre hargne envers Sarkozy l'emporte et vous conspuez de tous bords … quant aux solutions vous vous abstenez d'en trouver aucune .
Je ne suis pas un fervent d'extrême droite aujourd'hui le FN n'est plus un parti d'extrême droite mais MLP est la seule personne à désigner résolument les problèmes auxquels notre société est confronté …tout le monde dit qu'elle n'a une vision économique qui va amené entre autres au chaos en sortant de l'eurogroupe
En effet très inquiétant , mais j'ai entendu cette semaine une parole judicieuse qui disait que les pays adhérents auraient trop peur qu’en sortant de l’union la Grèce ne s’en porte que mieux à plus ou moins long terme et ne fasse quelques émules suivez mon regard .
Donc l’Eurogroupe paiera à fond perdu .
Au sujet de la démocratie que vous défendez ardemment dans votre blog, que pensez vous du barrage anti-démocratique continu envers le FN ne trouvez vous pas choquant que 25% d’un électorat soit ainsi bafoué ignoré et non représenté ………
Bien à vous
Sarkozy est un orgueilleux et un prétentieux. Il ne méritait pas d'être reconduit à la présidence pour 5 nouvelles années.
RépondreSupprimerJe retiens surtout qu'il a fait entrer les terroristes palestiniens à l'Unesco, qu'il a fait de la Libye un fief des Islamistes, qu'il a décoré le menteur Enderlin de la Légion d'Honneur, qu'il utilise ses origines juives quand çà l'arrange, qu'il est vulgaire et inculte, bref je suis content de ne plus être en France pour choisir entre des antisionistes et des ennemis d'Israël car, à gauche, à droite et au milieu, la France a renoué avec ses vieux démons antisémites, merci Sarkozy, Juppé, de Villepin, Fillion, Aubry, Ayrault, Mélenchon, Le Pen etc.
Akerman Michel Israël