Michel
Garroté -- Récemment, j’ai lu ceci dans le quotidien
libanais L’Orient-le-Jour, sous le titre « 40e anniversaire de la guerre
civile au Liban : racontez-nous votre souvenir le plus marquant » : Le
13 avril 2015 marquera le 40e anniversaire du début de la guerre civile au
Liban. A cette occasion, nous vous ouvrons nos colonnes. Racontez-nous, en une
dizaine de phrases, votre souvenir le plus marquant, malheureux ou heureux, de
cette période. Envoyez-nous vos souvenirs à l'adresse suivante : courrier@lorientlejour.com
ou via Facebook.
J’ai aussitôt publié, dans les délais, le texte factuel que voici, sur le page Facebook de L'Orient-le-Jour : « Il y a 40 ans, la guerre du Liban : J’ai visité Sabra et Chatila, lorsque je me trouvais au Liban en 1983. Sabra et Chatila n’étaient pas des camps de réfugiés palestiniens. Sabra et Chatila était un quartier de Beyrouth. Plus exactement, Sabra et Chatila était une ville dans la ville ; un Etat dans l’Etat. Dans les sous-sols ou plutôt, les galeries souterraines de Sabra et Chatila, l’OLP avait caché, une quantité inouïe, d’armes lourdes et légères. Un aspect de Sabra et Chatila qui n’a jamais intéressé mes confrères. Je n’oublierai jamais ce que j’ai vu au Liban à l’époque. J’ai parcouru le pays dans presque tous les sens. En 1983, à Beyrouth, un collaborateur direct d’Hobeïka, collaborateur que je connais depuis 1976, m’a certifié, qu’Hobeïka fut le responsable des événements de Sabra et Chatila. Il y a eu, au Liban, des massacres, avant et après Sabra et Chatila. En assassinant le président libanais Bachir Gemayel, le camp arabo-musulman a plongé le Liban dans un tunnel sanglant dont il n’est toujours pas sorti puisque le pays du cèdre est en partie sous la coupe du Hezbollah et donc de l'Iran ».
Mais L’Orient-le-Jour a retiré mon texte. « 40e anniversaire de la guerre civile au Liban : racontez-nous votre souvenir le plus marquant », fanfaronnait L’Orient-le-Jour. Mensonge ! L’Orient-le-Jour ne veut surtout pas que vous racontiez vos souvenirs marquants. L’Orient-le-Jour censure vos témoignages. L’Orient-le-Jour est un journal dhimmi, soumis à l’islam. L’Orient-le-Jour c’est L’Orient-la-Nuit… Pour pouvez même le leur dire à : @LOrientLeJour sur Twitter ou à courrier@lorientlejour.com ou encore via Facebook.
Sources :
Merci pour ce témoignage direct.
RépondreSupprimerCependant, d'Hobeïka à Geagea, en passant par le Gl Anoun, le pote à Chirac Hariri et d'autres maronites plus ou moins chrétiens,d'autres libanais plus ou moins islamistes, tantôt adversaires pour le fric, tantôt frères ennemis face à un ennemi plus dangereux qu'eux, et souvent remplacés après des morts violentes, l'observateur lointain a du mal à tout assimiler.
Ce que l'on comprend par contre c'est le rôle initial meurtrier d'Arrafat et de son OLP.
L'absence d'état central, le morcellement islamiste imamo-tribal, les chefs de guerre autoproclamés,à la nuisance en proportion de leurs richesses mal acquises, on retrouve en Orient ce que l'on a dans les banlieues islamisées de Paris Lille ou Lyon. Le laxisme coupable de l'Occident a trop laissé faire les fatah, hamas, hezb allah... trop longtemps .
Israël est bien seul face à ces hordes de barbares qui se cachent sous les faux nez du nationalisme de bandes, de ces bande de nomades naguères gardiennes de moutons, aujourd'hui hors la loi, sur-armées jusqu'à la ceinture de semtex, guidés par des fous de pouvoirs et d'ultra- centrifugeuses, qui se disent aussi fous d'allah pour justifier leurs crimes..... jusqu'où iront ils dans la démence meurtrière?
Pour que l'histoire ne puisse se répéter, quelles solutions?
L'Occident doit veiller à instaurer une zone de "sécurité chrétienne" au Liban.
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