AGRIF -- L’AGRIF
qui, à Toulouse notamment, a obtenu la condamnation des sept profanateurs
satanistes des tombes chrétiennes de Peyro-Clabado, a diligenté ses avocats
pour se porter partie civile dans la profanation du cimetière Saint-Roch de
Castres ; de même qu’elle l’a fait pour celle du cimetière juif de
Sarre-Union dont les auteurs, appartenant à l‘extrême-gauche antisémite, ont
d’ailleurs été arrêtés.
La
profanation de Castres s’inscrit à l’évidence dans une continuité sans cesse
grandissante de la haine anti-chrétienne dont les origines sont multiples mais
qui se nourrit du climat de dérision abjecte entretenu par certains médias et
les officines de propagande des antivaleurs de la culture de mort.
Les
premières informations sur l’individu suspecté d’avoir commis les dégradations
du cimetière Saint-Roch de Castres font état de ce qu’il serait atteint de
quelque folie. S’étant tout de même judicieusement, selon les premiers éléments
de l’enquête, débarrassé de ses vêtements islamiques, on indique qu’il
réciterait, semble-t-il d’une manière pathologique, des prières musulmanes.
Il est
tout de même curieux que si souvent dans les cas d’actes anti-chrétiens il soit
tout de suite fait état du déséquilibre de ceux qui sont accusés de ces actes. On
note par exemple qu’en Turquie, les assassins de prêtres et de religieux sont
toujours déclarés irresponsables pénalement.
En
France, l’invocation si fréquente de la folie nous laisse dubitatifs. On est
aussi légitimement fondés à s’interroger sur la question de savoir si ces actes
relèvent objectivement de la folie ou de la simple fanatisation.
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